• Ecrire un article de journal à partir d'une dépêche AFP et espérer obtenir le prestigieux prix Pulitzer qui  récompense le meilleur  journaliste...

    Saône -et- Loire :

     

    Un Belge contrôlé à 245km/h au volant d’une Ferrari

     

    Le mercredi 21 Août à 16h32, un conducteur belge de 44 ans a été contrôlé en excès de vitesse à 245km/h. Il conduisait, au volant d’une Ferrari, sur l’A39, en direction de Dijon. La police l’a repéré très rapidement et l’a placé en garde à vue au moins aujourd’hui et demain. Il risque une amende entre 150€ et 1000€ et 1 an ou 2 ans de prison.

     

    Célia

    Un conducteur belge de 44 ans a été contrôlé mercredi à 245 km/h au volant d’une Ferrari au lieu des 130 autorisés sur l’autoroute A39. Malheureusement pour lui, il s’est fait flasher. Les gendarmes sont allés chez lui pour l’interpeler. Il a été placé en garde à vue. La police a fait une découverte sur sa voiture. La porte avant gauche était enfoncée. Les policiers avaient peur qu’il soit blessé. Mais en fait, tout va bien. À présent, il attend la convocation du juge pour connaître son amende. Elle pourrait être de 500 euros.

    Matthieu

     

    Saône et Loire : un Belge contrôlé à 245 km/h au volant d'une Ferrari.
    Un conducteur belge âgé de 44 ans a été contrôlé mercredi 21 août en Saône et Loire. Il roulait à 245 km/h au volant d'une Ferrari. Sous l'emprise de l'alcool, il n'a pas vu que l'autoroute A39 était limité à 130 km/h. Les policiers l'ont flashé. Ils ont découvert, vers Paris, que la Ferrari s'était faite écraser par un camion qui arrivait par la droite. Les forces de police l'ont interrogé et il a dit qu'il roulait aussi vite car il était en retard au mariage de sa cousine. Il a reçu une amende de 60 000 euros.

    Victor

    ACCIDENT SUR L’AUTOROUTE A39 EN SAÔNE-ET-LOIRE : 21 MORTS RECENSES

    Le lundi 21 août, un Belge de 44 ans conduisant une Ferrari Enzo roulait à 245 km/h alors que la limitation était de 130 km/h. D'après ses proches il avait beaucoup bu. A quelques kilomètres de ce fou du volant, se trouvait une ambulance car quelqu'un avait eu une crise cardiaque. Il est arrivé, a fauché 5 infirmiers et tué le patient en lui roulant dessus. Sa voiture est partie en tonneaux et a percuté un camion rempli de pétrole qui a explosé et éventré un autre camion qui transportait du béton. Celui-ci a coulé et a figé une dizaine de voiture.

    Le bilan de cet accident est 10 morts asphyxiés, 6 morts écrasés, 5 morts brûlés.

    Pierre

    UNE FERRARI À 245/KMH SUR L'AUTOROUTE

    Le 21 Août 1884 vers 16h32, un conducteur belge de 44 ans roulait à 245 km/h.
    Il s'est fait flashé par un radar puis a fait un triple salto avant!
    La vitesse autorisée était de 130 km/h. Le conducteur est sain et sauf avec 19 fractures contrairement à la voiture qui a explosé.
    Un gâchis pour une Ferrari qui coûte 2 500 000 000 000 000 000 000 de dinars.
    Cet  incident s'est passé sur l'autoroute A39 en Saône-et-Loire.
    Rapidement, les secours sont arrivés afin de le sauver. Il se trouve aujourd'hui à l'hôpital international de Dijon.Il a reçu une amende de 9 875 000 000 000 000 000 000 000 000 de dinars soit 450 000 000 000 000 000 000 000 Lires
    500 000 000 000 000 000 000 BA, 780 000 00 000 000 000 000 000KA.
    Il doit rester au lit encore 3 mois sans bouger jusqu'à ce que les fractures soient guéries.

    Kenji

    Saône-et-Loire:un belge contrôlé à 245km/h au volant d'une Ferrari

    Ce mercredi, un conducteur belge de 44 ans a été contrôlé sur l'autoroute A39 à 245km/h au volant
    d'une Ferrari au lieu des 130 autorisés.
    Les policiers ont été informés et sont tout de suite partis l'interpeler. Ils lui ont donné une amende de
    1000 euros. Il risque d'être condamné à 5 ou 6 ans de prisons.
    Alissa

     

    Saône-et-Loire: un Belge flashé

     

    à 250 km/h

     

    Jeudi 21 août à 16h32, la police a flashé un belge à 250km/h sur une voie limitée à 130km/h. Les forces de police l'ont pris en chasse. Après avoir fait un tonneau dans un virage, l´homme a enfin été arrêté. Il a été transporté à l´hôpital de Dijon. Le belge a apparemment voulu se suicider après avoir bu dans un bar, car sa femme lui a annoncé qu´elle le quittait. L´homme risque un retrait de permis et  100 000$ d´amende.

     

    Jeanne

     

     

     


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  • Ecrire une réplique de Rodrigue dans la pièce de théâtre Le Cid de Corneille

    Chimène, la fille du conte de Gormès, aime Rodrigue. Cependant, une querelle de leurs pères ruine leur espoir de mariage. Pour sauver son honneur, Don Diègue demande à son fils Rodrigue, de tuer Don Gomès, le père de Chimène...

    Contre tout attente, nous avons imaginé une réplique de Rodrigue qui exprime son refus de venger son père et sa volonté d'épouser Chimène contre le gré des deux familles...

    Rodrigue :

    Ne m'obligez point à commettre un acte si répréhensible! Ne me sollicitez point pour mettre mon bonheur en péril!J'aime Chimène d'un amour sans équivoque, et je ne compte en aucun cas accéder à votre requête! Votre vengeance me coûterait tellement; pourquoi devrais-je donc vous écoutez si en contrepartie je perdrai ma raison de vivre?Je refuse de vous obéir! Je refuse de vous aider dans cette veine tentative de retrouver votre dignité. Je décide de prendre la décision qui me satisfera le plus, la décision qui me garantira un bonheur sans limites! Malheureusement, père, je crains que vous ne puissiez compter sur moi. Je ne vous vengerai pas. Ainsi, libre à vous de me renier, mais tachez de comprendre une telle décision de ma part. Père, je vous en conjure; réfléchissez à mes motivations et essayez de pardonner la décision de votre fils.

     
    Alexandra
     
    Père ! Vous ne vous rendez pas compte du dilemme que vous me causez. J'aime Chimène plus que tout, au delà de votre honneur. Comment pouvez-vous contredire un tel cœur? Mon amour pour Chimène est plus grand que le royaume de Charlemagne. Je ne peux pas vous aider. Ne contredisez pas ma parole ! Tel est mon avis et il ne changera point. 
    Benoît

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  • Ecrire une scène de théâtre

    Le docteur Knock vient de s’installer depuis deux semaines dans une petite ville de province.

     

    Il cherche à gagner de l’argent en tentant de convaincre les gens qu’ils sont malades. Arrive la dame en noir …

     

     

    Knock :  Bonjour, êtes-vous venue pour la consultation gratuite?

     

    La dame en noir : Oui, c’est bien ça.

     

    Knock : - Bien suivez-moi. Tout d’abord, je vous demanderai votre date de naissance, votre nom et votre nom de famille.

     

    La Dame en noir Bien, je me nomme Sophie Dior et je suis née le 09.08.1919

     

     

    (La dame en noir semblant peu malade, se mit à rire silencieusement). (Ils entrèrent tous les deux s’assirent)

     

    Knock :  Bon ! De quoi souffrez-vous ? Quel est votre alimentation quotidienne ?

     

    La dame en noir :  (un peu embarrassée par toutes ces questions auxquelles elle doit inventer une réponse)

    Je …euh…Je suis atteinte de douleur au niveau des jambes.

    Et…euh…euh…euh…Je mange des fruits, des légumes, du cassoulet et du bœuf...

     

    Knock :  (en coupant la parole à la dame en noire) Plus de précisions ! Quoi exactement ?

     

    La dame en noir : Je…euh…euh…euh…euh…Je mange du bœuf et une pomme en guise de dessert

     

    Knock : (Il l’ausculte) Est-ce-que ça vous fait mal si j’appuie ici ?(Il pose son stéthoscope sur sa gorge)

     

    La dame en noir : Ça me grattouille et ça me chatouille...

     

    Knock : Hum. Je pense que c'est très grave! Restez chez vous mais ne travaillez pas je viendrai vous voir demain…

    (La Dame en Noir quitte le cabinet du docteur Knock en pleurant.)

    Pierre

     

     

    La dame en noir a 45 ans, elle habite la commune et elle est très avare…

     

     

     

    KNOCK : « Quel est le mal que vous subissez ? »

     

    LA DAME EN NOIR : Humm (elle essaie de ne pas sourire) j’ai de maigres rhumatismes en haut du dos.

     

    KNOCK : (prenant un air très concentré)  Ahaa ! Je vais vous examiner ! Accroupissez-vous (collant son oreille sur le dos de la patiente). Inspirez, expirez. Hum, hum !

     

    Ce que vous avez est très grave ! Ce ne sont pas de maigres rhumatismes mais chaque mois un léger déplacement de la colonne vertébrale. Ce qui pourrait entraîner une paralysie complète. Vous devrez acheter des seringues très efficaces mais très compliquées à utiliser. Vous viendrez deux fois par jour ici pour que je vous fasse des injections, et comme il s’agit d’un produit très dangereux à forte dose, seul un médecin de mon rang pourra vous le procurer. 

     

    LA DAME EN NOIR  (en pleurant ): Hum… je, je, je… je … vais rentrer… chez, chez moi ! 

    Balthasar

     

     

     


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  • Ecrire un renversement de situation

     

    Molière utilise souvent des renversements de situation pour faire avancer l’intrigue et pour faire rire les spectateurs

    Dans la pièce les , on a un renversement de situation entre les scènes 3 et 4 de l’acte II puisque, dans la scène 3, Léandre est en colère et veut que Scapin se confesse alors que les rôles s’inversent dans la scène 4. Le maître devient valet et vice versa.

     

    Scapin a obtenu les cinq cents écus dont Léandre a besoin pour retrouver son aimée Zerbinette, mais il les a gardés pour lui.  

    Léandre, qui vient d’apprendre cette nouvelle fourberie, est furieux et veut se venger.

     

    LÉANDRE- Vous n’êtes qu‘un coquin, un fripon, un pendard, un infâme!

    SCAPIN     Que se passe-t-il mon Maître?

    LÉANDRE-Ne faites pas semblant, vous savez exactement de quoi je parle!

    SCAPIN    Je n‘ai pas la moindre idée de ce qui vous met en colère comme cela.

                       Expliquez-vous doucement.

    LÉANDRE  Les cinq cents écus, les Égyptiens, Zerbinette ,tu vois de quoi je parle maintenant!

    SCAPIN    Ah c‘est donc ça...

    LÉANDRE  Tu m‘as trompé, je pensais pouvoir te faire confiance. Parle! Sinon...

                     (en l‘agressant avec une épée)

    SCAPIN     Ne me tuez point, je peux vous être utile pour plein de choses. Bon je l‘avoue j‘ai pris les cinq cents écus pour moi (se jetant à genoux devant lui). Je vous demande pardon du fond du cœur, ne me laissez pas mourir comme ça. S‘il vous plait, donnez-moi une chance.

    LÉANDRE Tu vas me le payer Scapin, très cher

    SCAPIN     Une dernière chance. Je vous en supplie.

    LÉANDRE  Si tu me promets de ne plus me tromper, je te laisse la vie.

    SCAPIN     On verra

    LÉANDRE  (reprenant son épée en la rapprochant du cou de Scapin)

    SCAPIN      Je ferai tout ce que vous voudrez mais ne me tuez pas.

    LÉANDRE Comme tu viens de prononcer les mots “je ferai tout ce que vous voudrez“, tu peux facilement me redonner les cinq cents écus que tu as volés, n‘est-ce pas?

    SCAPIN    Vous m’avez convaincu (Il part chercher le sac pleins d‘écus)

    SCAPIN    (en revenant avec le sac d‘écus) Tenez Maître.

    LÉANDRE Merci ainsi tu redeviens un fidèle serviteur.

    Marielle

    Leandre: Qu'est ce que ça veut dire Scapin ?
    Scapin:   De quoi parlez-vous, Maître ?
    Leandre: Pourquoi garder l'argent ? Pourquoi maintenant ?
                  Tu m'a trompé! Tu avais regagné ma confiance pour à présent me trahir ?
    Scapin:   J'en ai besoin.
    Leandre: Tu en as besoin ?
    Scapin:   Oui, j'ai des comptes a réglé.

    [Leandre lève son sabre et s’apprête à transpercer Scapin]

    Scapin:   S'il vous plait, ne me tuez point !

    [Leandre relève son épée jusqu'à touché la gorge de Scapin]

    Leandre: Rends-moi l'argent tout de suite Scapin! Je suis ton maître !

    [Scapin donne l'argent à Leandre]

    Leandre: Merci et maintenant suis moi nous n'avons plus que dix minutes...

    Antoine

    LEANDRE soulagé: Ah, te voilà, Scapin. As-tu réussi à me procurer cet argent ?

    SCAPIN: Oui, bien sûr…

    LEANDRE: Eh bien où est-il, cet argent ?

    SCAPIN fier de lui: Le voici : 200 pistoles.

    LEANDRE : Et le reste ?

    SCAPIN : Quel reste ?

    LEANDRE : Oh espèce de fripon, de coquin ! Tu as donc dépensé ce précieux argent ?

    SCAPIN calmement : Mais pas du tout : voici vos 200 pistoles.

    LEANDRE : Scélérat, infâme ! Viens, approche que je te fasse tâter de mon bâton !

    SCAPIN : Aïe ! Oh, monsieur, pas si fort !

    LEANDRE : Tu ne mérites pas mieux !

    SCAPIN : Je suis désolé ! Je n’avais pas bien  compris ! (il réfléchit) Mais je promets de récupérer

                    l’argent et de vous l’apporter !

    LEANDRE : Ah ! Menteur ! Je ne te croirai plus !

    SCAPIN : Je le promets ! Je le jure !

    LEANDRE : Eh bien, fripon ! Je te laisserai la vie sauve ! Mais tu n’échapperas pas à la punition ! Je te

     battrai !

    SCAPIN : Aïe !

    Sylvie


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  • Ecrire le portrait d'une sorcière

     

    La sorcière n´en avait pas l´air, on aurait dit une fée. Elle souriait comme un ange en nous saluant du haut de son balai. Elle s´habillait avec des couleurs vives: sa robe, son chapeau et ses chaussures étaient violets. Sa ceinture et son collant rouge assortissaient le tout. Elle montrait l’exemple aux enfants en se tenant droite sur sa monture et en dormant bien la nuit. Son teint rose et sa peau bronzée lui donnaient confiance en elle et auprès des gens.

     Jeanne 

    Cette sorcière portait une longue robe violette ajustée d'une ceinture orange, de collants de la même couleur et de souliers assortis. Son visage souriant et ses yeux rieurs la rendaient sympathique et aimable. Son nez était long et arrondi, ses cheveux bruns tombaient sur ses épaules. Elle voyageait sur son balai magique, saluant au passage tous ceux qu'elle connaissait.

    Le soir, elle ouvrait son livre de magie noire et révisait jusqu'à l'aube. Le matin, elle nourrissait ses petits loups-garous en leur donnant des larves aux choux de Magieland. Le midi, elle allait au restaurant et prenait toujours des lasagnes aux crapauds saupoudrées de quelques étoiles vertes avec un gâteau aux belettes.

    Victor

    Cette sorcière s´appelait Violette. D´ailleurs elle était vêtue  d´une robe violette, d’un chapeau violet et de chaussures violettes. Elle portait un collant rouge avec une ceinture assortie. Ses cheveux orange lui donnaient bonne mine. Elle était sympathique, souriait toujours et faisait un signe de la main pour saluer. Elle semblait en forme et sa peau était lisse. Elle se tenait droite sur son balai en riant. Avec ses livres, elle faisait de la magie avec ses loups-garous.

    Matthieu

    Ella était grande et se tenait droite. Elle arborait un ensemble violet avec un col de dentelle qu'elle devait avoir tricoté elle-même. Ses cheveux encadraient son visage souriant...Son visage...Elle avait des yeux verts et un nez aquilin.Elle habitait une petite chaumière bien entretenue au milieu de la forêt entourée d'animaux apprivoisés. Elle leur donnait à manger matin et soir.Elle était guérisseuse;c'était d’ailleurs pour cette raison que je venais ici.

    Pierre

    Cette sorcière s’appelait SHA-TA-DOU-KOU. Ses cheveux gris souris semblaient même empoisonnés .

     

    Son nez pendait comme un long fil à cause d’un accident de magie. Son menton pointu avait la forme d’un éclair, et surtout ses grands yeux faisaient peur.

     

     Elle était gentille et amusante. Elle prenait plaisir à pratiquer le Kayac sur la rivière enchantée et le vélo autour de la forêt de Ti-Kan-San-Sou.

    Mais ce qu’elle aimait le plus était de prendre des cerveaux de crapauds pour en faire des jus alcoolisés qui ressemblaient au Baileys.

     

     Cette boisson la rajeunissait de trois ans.

     

     Kenji

    Carambar la sorcière

     

     Carambar se tenait le dos courbé ; elle avait toujours des cernes sous ses yeux, et ses longs cheveux gris pendaient sur ses épaules.

     

    Son araignée , insecte de compagnie, lui servait de guide. Elle portait des habits bizarrement déchirés qu’elle utilisait tous les jours.

     

    Elle était connue pour sa méchanceté. Cette sorcière se régalait en transformant les humains en crapauds et traitait les enfants comme des esclaves.

     

    Carambar faisait le tour du monde avec son balai volant pour transformer la vie entière en noire.

     

     Alissa

    Mortelle habitait dans une petite cabane en pierre, avec un toit en bois rempli de feuilles. Elle portait des vêtements boueux, déchirés, noirs et violets. Son visage paraissait répugnant, car sa peau était ridée. Son nez crochu la rendait laide comme un corbeau. Les cicatrices sur ses lèvres rougeâtres faisaient ressortir sa grosse bouche. Elle était née avec des yeux noirs, minuscules et avec des cernes violettes. Une perruque de cheveux blancs lui tombait sur les épaules. A la main droite, il lui manquait un doigt.

    Elle était cruelle avec les enfants: elle faisait tomber leurs glaces et pour les consoler leur donnait un ballon en forme de chien. Quelques secondes après, elle l’éclatait.

     Pascal

    Sophie souriait souvent. Ses yeux brillants, ses cheveux longs et bruns, ses habits neufs et propres la rendaient magnifique. Elle se tenait toujours droite sur son balai. Elle était gentille, sympathique et adorait aider les gens. La sorcière se prélassait et faisait des acrobaties sur son balai quand il ne pleuvait pas ;  elle adorait également se teindre les cheveux en rouge, vert, violet, noir, blanc, bleu, jaune, turquoise, gris, orange et rose. Elle illuminait la vie de tous ceux qui la connaissait.

    Célia


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